[syndicate] Re-2:

Aliette Guibert guibertc at criticalsecret.com
Wed May 4 10:23:16 CEST 2005


Of course, I do not agree anyone who defend an united undiverse.

A not diverse treaty with regard to the cultures and to the ideas of the
right premises, which wants universal, in a time when the speed of material
transformation of the planet and the societies) victims of the world system
exceeds the understanding, a treaty the universality of which does not
support change on the big duration ( Being legally declared to be able to
change only with the unanimity of the partners: or ever), seems to me not
only unsuitable for the approach of future: but dangerous and fatal.

This divine eternity of the neoliberalism, this "ubik" substituted for the
extented Universal Declaration of Human Rights and of the citizen (straight
ahead to opt for its social choices, economic choices, of way of life, etc.)
which proclaims itself beyond the human life cycle of any succession of the
generations, bothers me.

Negri influences me not at all if I reason. (No priest, no groupies).

I am afraid of any misunderstanding in my bad English spoken. Sorry for
French.:

Les cultures sont diverses et doivent pouvoir le rester pour l'équilibre
"mental" des citoyens européens. Si elles évoluent ce ne peut être que par
le fait préalable au droit, et pas l'inverse, sinon ces lois s'appellent
dictat.

Quant au texte, une fois vu comment une annexe sur la sécurité autorise la
police ou l'armée à tuer quiconque, par le simple droit légitime de la
bavure szécuritaire, c'est annihiler la fin de la peine de mort en Justice.

Conclusion :

Sur cette base, il est inutile de lire la constitution dans le détail sur le
fonds, sinon pour s'apercevoir qu'elle est contradictoire en toutes sortes
de points, sauf le néo-libéralisme universel et le pouvoir éternnel pour
l'oligarchie qui y concourt à grand renfort de juristes envoyés par tous les
pays.

Le droit discriminant c'est l'exécutif. Celui qui est défini comme totalité
du pouvoir, du côté du pouvoir qui distribues ses "sujets" dans le plus
grand féodalisme, sous le credo de la constitution.

La force élective souveraine du peuple déplacée au seul pouvoir (qui lui
seul sait ce qui convient ou pas aux peuple) - non.

Je suis française, fille de résistants qui ont du lutter contre la
souveraineté de l'Etat français et contre le peuple majoritaire pendant la
dernière guerre mondiale ; sans cette insoumission minoritaire voire en
toute conscience individuelle - par exemple concernant les Justes -, qui
était réputée être un devoir des minorités ou des individus hérité de la
déclaration des droits de l'homme révolutionnaire, en France, et qui serait
donc passible de l'amnistie après la victoire : personne ou quasi n'aurait
résisté contre les nazis ici, pendant la  dernière guerre mondiale, sauf le
parti communiste en militants héroïques, et encore, seulement après la
rupture du pacte germano-soviétique, car avant ils dénonçaient par des
tracts les trotskystes, aux portes des usines, notamment sous les termes de
"judéo-trotskystes".

En tant qu'héritière "cognitive" de la tendance de ma région, je dis non à
la fin de la souveraineté du droit de s'insoumettre des peuples.

Par exemple, je refuse de  m'unifier et d'appliquer à mon pays la légitimité
du gouvernement italien qui ignore l'amnistie, après vingt cinq ans de
répression des opposants contre l'extrême droite - celle-là même pour partie
actuellement au pouvoir et qui n'a jamais hésité à tuer pour prouver qu'elle
avait raison (l'extrême gauche italienne ne l'ayant fait qu'en termes
d'autodéfense): et d'ailleurs cela vient d'être rejoué par Castelli contre
le mouvement causé par Pannella et Scalzone qui allait vers sa victoire
parlementaire -. Ce pays qui a vomi sur le mien où le minsitre de
l'intérieur vient de modifier sa loi de justice en payant légalement les
indicateurs de police et en intégrant la rémission de peine, pour les
délateurs repentis, ce qui les convoque à la rupture de la solidarité
relative aux droits de l'homme, et au  mensonge.

Quand l'amnistie en Italie sera acquise, par exemple, alors nous reparlerons
de la belle unification européenne qui force les peuples à se soumettre.

Je suis contre le règne judéo-chrétien d'abord parce que je ne crois pas en
dieu ni en dieu constitutionnel, et notamment en matière de représentation
du destin comme fatalité millénariste, après la fin de la réalisation de
l'Ecclésiaste. Parce que j'aime la vie, et j'y crois, étant la seule preuve
existentielle dont je dispose matériellement et métaphysiquement pour faire
face. L'utopie comme projet de réalisation est prescrit - voulez-vous
retourner à l'époque du goulag ? voulons-nous retourner au progrès
techniques sans fin qui dévore la planète ?

ATOPIA is great and predictable openned.

Pour finir, dire non à la constitution qui réalise dans la forme
contradictoire, et cela serait-il à des fins dialectiques (la dialectique
matérialiste ici s'intègre au niveau constitutionnel, de sorte qu'elle est
retirée au droit de la pratique des peuples pour être déplacée exclusivement
du côté des contradictions du pouvoir : manque une entrée dans la machine
sémiotique dialectique constitutionnelle : celle de la souveraineté
populaire).

Car tout ce à quoi les peuples auraient pu recourir bascule ici du côté du
pouvoir, qui s'autorise à donner réponse à tout y compris en termes de
contradictions, pour garantir la réalisation du néo-libéralisme économique
et les projets sélectifs, eugénistes, de la banque mondiale, contre les
petis entrepreneurs indépendants ou alternatifs et la survie locale des
peuples selon leurs modes de survie possibles, ceci étant imposé sans
dépassement consenti possible - armé des moyens les plus meurtriers contre
la vie humaine pour y arriver en cas de constestation globale.

Big brother c'est le paradoxe.

" Dans "1984" de George Orwell, la devise du "Grand Frère" est : LA GUERRE C
'EST LA PAIX, LA LIBERTÉ C'EST L'ESCLAVAGE, L'IGNORANCE C'EST LA FORCE. "
Randall Packer le 8 juin 2004 Washington, DC Pour la défense de Steve Kurtz
et sur le rôle de l'Artiste dans Société .

Dans la réalisation de la contradiuction dialectique de la programmation de
la constitution réside une forme éclatée du paradoxe de Big brother watching
us.

Or qu'est-ce que le pouvoir ? Hegel l'a attribué à "donner la mort" et
justement, dans la dialectique du maître et de l'exsclave : l'exercice
raisonné du pouvoir étant de ne pas donner la mort - donc de donner la vie à
qui devra en être reconnaissant.

Il est aussi la tautologie de la vie et de la mort comme forme de pouvoir à
laquelle se livre le traité constitutionnel européen, à l'image de Big
brother, afficahnt toutes les soumissions obligées.

Iln'est pas davantage nécessaire de lire le détail des articles et annexes
surt le fond, car c'est bien sur la question de forme, et de forme
tautologique que nous devons nous prononcer maintenant. Et je dis non au
totalitarisme européen - a fortiori hyperarborescence cadrée par le
totalitarisme mondial.






----- Original Message ----- 
From: "claudia westermann" <media at ezaic.de>
To: <syndicate at anart.no>
Sent: Wednesday, May 04, 2005 6:06 AM
Subject: [syndicate] Re-2:


>After all the only creed appears to be the neoliberalism given as universal

is it so different from

the treaty of Nice ?
http://www.unizar.es/euroconstitucion/Treaties/Treaty_Nice.htm

No. It is the problem.

The Community shall have as its task, by
establishing a common market and an economic and
monetary union and by implementing common
policies or activities referred to in Articles 3
and 4, to promote throughout the Community a
harmonious, balanced and sustainable development
of economic activities, a high level of
employment and of social protection ,equality
between men and women, sustainable and
non-inflationary growth , a high degree of
competitiveness and convergence of economic
performance, a high level of protection and
improvement of the quality of the environment ,
the raising of the standard of living and quality
of life , and economic and social cohesion and
solidarity among Member States.

Trade policy

b) a common commercial policy;


g) a system ensuring that competition in the internal market is not
distorted ;

etc ...


http://multitudes.samizdat.net/article.php3?id_article=1742

(monsieur l'economiste)

III. La référence au marché dans la Constitution
et l'inclusion des traités précédents dans sa
III° Partie, nous condamne-t-il au
néolibéralisme ? Ce raisonnement est faux dans
tous ses compartiments. L'inclusion des traités
précédents dans la partie III permettait de
consolider la règle de l'acquis communautaire qui
interdit aux nouveaux Etats membres d'exiger de
renégocier tout depuis le début. L'aile la plus
libérale de l'Europe et la plus anti-européenne
aurait sauté sur l'occasion de détricoter toutes
les politiques déjà fédéralisées. Quant à la
référence au marché, à la « concurrence libre et
non faussée » Art. I-2 et 3, elle n'a aucune des
conséquences que ses adversaires lui prêtent. Il
est dit certes dans l'alinéa 2 de l'article 3 (
les objectifs de l'Union) que cette dernière
« offre à ses citoyens un espace de liberté, de
sécurité et de justice ET un marché intérieur où
la concurrence est libre et non faussée » Il
n'est pas dit tout d'abord que le marché est la
seule chose qu'offre l'Europe a ses citoyens. De
plus l'adjonction de « non faussée »  au
qualificatif de « libre marché » est la forme que
prend dans la théorie néoclassique, qui est le
langage économique courant, la justification de
l'intervention  de l'Etat pour combattre les
monopoles.  L'alinéa suivant du même article
montre à l'évidence que l'Europe se situe
beaucoup plus près du modèle rhénan que du modèle
des libéraux de l'Ecole de Chicago. Il vaut la
peine de citer in extenso :
« L'Union ¦uvre pour le développement durable de
l'Europe fondé sur une croissance  économique
équilibrée et sur la stabilité des prix, une
économie sociale de marché hautement
compétitive, qui tend au plein emploi et au
progrès social, et un niveau élevé de protection
et  d'amélioration de la qualité de
l'environnement. Elle promeut le progrès
scientifique et technique.    Elle combat
l'exclusion sociale et les discriminations, et
promeut la justice et la protection sociales,
l'égalité entre les femmes et les hommes, la
solidarité entre les générations et la protection
des droits  de l'enfant. Elle promeut la cohésion
économique, sociale et territoriale, et la
solidarité entre les États membres.    Elle
respecte la richesse de sa diversité culturelle
et linguistique, et veille à la sauvegarde et au
développement du patrimoine culturel européen. »

etc ..


et
pour finir
http://multitudes.samizdat.net/article.php3?id_article=1967

Stratégies possibles pour l'Europe L'Europe est nécessaire. Est-elle
possible ?
Février-Mars 2003
par  Toni Negri




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