bilingual explanation instead of panoptical vision

[Aliette Guibert]

(English-US below)

Il est regrettable de devoir annoncer son curriculum vitae comme à devoir
présenter sa carte de visite devant l'attitude obsessionnellement aggravée
et dégradante de monsieur Fabre qui perd son temps à essayer de frimer en
m'humiliant. Il ferait mieux de s'occuper de ses propres affaires, plutôt
que de juger régi par la haine et l'aigreur des textes toujours trop longs
ou d'un d'un mot toujours trop court pour lui puisque ce sont les miens ;
(pour une fois que je faisais court)

Fabre je ne le connais pas, je ne l'ai jamais vu de ma vie, je ne sais même
pas à quoi il ressemble sauf par mail, et il parle de moi comme si nous
avions couché ensemble quand j'étais encore baisable ;-))) Voilà parfois on
a envie de devenir vulgaire devant les orifices aussi étroits d'un si grand
génie qui prétend en raconter à une grand mère, certes vulgaire et certes
indigne...

Tous les curriculum vitae ne sont pas en ligne ni dans les registres ; les
miens peuvent facilement se vérifier en contactant les personnes nommées
ici - sauf les morts.

Je fais partie des gens qui ont soutenu activement- et publié à ce propos
dans une revue de la diaspora - l'association arménienne de Serge Avédikian
né à Erevan émigré en France et qui retourna faire un film de deux heures en
Arménie, "Que sont mes camarades devenus ?" et Jacques Kébadian qui signa le
film qui fut diffusé sur la chaîne de télévision A2 puis rediffusé sur Arte,
respectivement acteur et cinéaste puis producteurs, qui ont fait connaître
en France au début des années 80 aux années 90 la spécificité d'une
sensibilité arménienne dont expérimentale du cinéma soviétique et qui, les
premiers, ont permis d'organiser l'invitation d'Arthur Péléchian en France ;
(son oeuvre s'imposa comme elle se serait de toutes façons imposée
d'elle-même). Par conséquent non content d'avoir partie de son travail, j'ai
pu le croiser sans échange particulier, parce que je me trouvais là... De
plus j'ai été formée dans le cinéma au contact de Guy Cavagnac qui a monté
le festival de Gindou ; enfin, j'ai été invitée par René Allio à constituer
deux scénarios dans le cadre du Centre Méditerranéen de Création
cinématographique, qui chaque année tenait un festival exceptionnel des
cinémas du Sud y compris le Sud soviétique... où je ne pense pas me souvenir
que Péléchian ait été programmé, sinon précisément là je l'aurais manqué,
mais où j'ai pu également en entendre parler.

Pour le reste du curriculum vitae je vous épargne des détails des progrès et
des diversités interdisciplinaires ; j'ai peut-être bien fait tout les
métiers dans ma vie sauf arpenter le trottoir, car je n'ai jamais su faire
l'amour que par amour et par plaisir Donc avec peu de partenaires au bout du
compte - si l'on compte ;-) Sans doute est-ce la raison principale pour
laquelle Nathalie Magnan alias propriétaire (?) de nettime.fr depuis la
dissolution du comité samizdat, - ou alors ce n'est vraiment pas clair - me
déteste,  (je lui fais pitié alors pourquoi me craint-elle ? balançant des
rumeurs assez infâmes sur moi quant à mon éventuelle interdiction des
listes, étrangement les mêmes que Fabre a colportées à mon arrivée ici) -
puisque seules les putes non soumises l'intéressent au titre du cas social
activiste. or, de mon côté perso je ne m'occupe pas des orifices des autres
mais en d'autre temps défendant âprement le droit néanmoins respectable
d'expression des miens :) Sinon je ne vois pas d'autres raisons de haine et
de harcèlement épisodique (c'est épidermique et rampant comme le racisme),
si ce n'est qu'elle cotoie monsieur Fabre, (ceci pouvant expliquer cela) on
a du en voir des traces ici (sinon je n'en parlerais pas).

Que les chiens aboient pendant que la caravane passe ne l'empêche pas de
poursuivre  ; j'aime la culture arabe qui ne m'a jamais fait porter le voile
ce qui me vaut aussi de belles cabalistiques :)

Pardonnez moi le ton mais comment faire autrement ?

Encore une fois je vous prie de m'excuser de ma mini-bio (un fragment) et
vous embrasse,
(c'est la ciboule qui roule...)

Aliette

PS. Ah oui, j'ai toujours trouvé complètement "cucul" le jeu de mot "les
chiennes de garde" quand on sait ce que cela pourrait signifier chez Nizan,
dont les filles n'ont pas manqué le titre, lui conférant a contrario un
statut positif - toujours le défi sans qualité des jeux de mot -, loin du
guetteur chez Edmond Jabès, peut-être ? chez Nizan, qui les hait : ce sont
les cadres équivalents aux flics ; pas de surprise quant à la perte de la
fin en cours des moyens de ceux qui se définissent à l'égide des chiens de
garde même pour rire, donc.

Et dernier truc,j'ai entendu récemment dans la conférence de Lacan à
Caracas, sa dernière conférence avant sa mort où il parle du corps, mais
avant, quelque chose de formidable sur le symbolique - ce qui nous désempare
justement - en quoi réside le statut de l'altérité, exclusivement... rompez
un pacte symbolique et l'altérité vous déserte, ou devient une altérité
radicale : mais c'est peut-être vous qui la consitituez ? y a qu'à voir les
américains et l'Islam... et si j'étais l'arabe de Magnan et de Fabre, moi
qui ne sait pas couper réellement les couilles aux mecs ?

Merci Bobig, ton truc sur l'amour c'est très joli, une très bonne idée vu
l'amertume ambiante (mais qu'est-ce que je lui ai fait à Fabre ? chais pas
!)

===========
Sorry on my bad english speaking


It is unuseful to must announce its curriculum vitae as to have to present
its visiting card in front of Mister fabre's obsessionnally and degrading
attitude and who wastes his time trying to show off by humbling me. He would
better make take charge of his own cases, rather than to consider governed
by the hatred and the sourness of texts always too long or one of the word
always too short for him because they are mine; (for once I made short:)

Fabre I do not know him, I have never seen him of my life, I do not even
know what he looks like except by e-mail, and he speaks about me as if we
had slept together when I was still good for love;-))) here is sometimes we
want to become vulgar in front of the openings so narrow of a so big genius
which claims to tell in big one mother, certainly vulgar and certainly
despicable...

Every curriculum vitae are not on-line nor in registers; mine can easily
come true by contacting the nominees here - except the deaths.

I am a part of people who supported actively and published on this matter in
a review of the Diaspora - Serge Avédikian's Armenian association born in
Erevan emigrated into France and which returned to make a film of two hours
in Armenia, " that are my become companions? " And Jacques Kébadian who
signed the film which was diffused on the television channel A2 then rerun
on Arte, respectively actor and film-maker then producers; they made known,
in France, at the beginning of the 80s in the 90s, the specificity of an
Armenian sensibility of which experimental of the Soviet cinema was
singularly interesting, and the first ones they allowed to organize Arthur
Péléchian's invitation in France; (his work stood out as it would have been
imperativein any case of itself). Consequently not satisfied to have left
his work, I was able to cross him without particular exchange, because I was
there... Furthermore I was formed in the cinema in the contact of Guy
Cavagnac which went up the festival of Gindou; finally, I was invited by
René Allio to establish two scenarios within the framework of the
Mediterranean Center of film Creation, which every year held an exceptional
festival of the cinemas of the South including the Soviet South, and where I
do not think of remembering that Péléchian was scheduled, otherwise exactly
there I would have missed him, but where I was also able to hear about him.

For the rest of the curriculum vitae I spare you details of the progress and
the interdisciplinary varieties; I maybe made well everything the
professions in my life exlusiving to measure the pavement (as we say in
matter of prostitute), because I have never known how to make love or only
by love and by pleasure...  Thus with few partners after all - if we
count;-)
Doubtless it is the main reason for which Nathalie Magnan alias owner (?) of
nettime.fr since the dissolution of the committee samizdat, - or then it is
not really clear - hates me, (I make her pity then why is she afraid of me?
Rocking rather vile rumours on me as for my possible ban on lists, strangely
the same that Fabre spread in my arrival here) - because only the not
subdued whores interest her in conformance with the special interest of
hacktivist on the socially disadvantaged persons to be helped.

Now, from my part perso I do not take charge of openings of the others but
of the other time defending piercingly the nevertheless respectable right of
expression of mine:) otherwise I do not see the other reasons of hatred and
occasional harassment (it is epidermic and crawling as the racism) that they
havec against me, except that she plays any games on conferences with mister
Fabre, (this being able to explain their viral position about me), we have
of to see tracks here (otherwise I would not speak about it).

That dogs barking while the caravan passes do not prevent it from pursuing;
I like the Arabic culture which has never made me wear the veil what is also
worth me of beautiful kabalistic:)
Forgive me the tone but how for making otherwise?

Once again I do apologize for my mini--bio ( a fragment) and embraces you,

(it is the spring onion which runs)

Aliette

PS. Ah yes, I always found completely " cucul " the play on words " the
bitches guarding " because the french title means "the guarding dogs " when
we know what it could mean at Paul Nizan's sense, whom the girls did not
miss the title, conferring him a contrario a positive status far from the
lookout at Edmond Jabès, maybe? At Nizan, who hates them: they are
executives persons equivalent to the cops of the society - that persons we
fight against to get free; No surprise as for the loss of the end in the
course of the means of those who define themselves in the aegis of the guard
dogs to laugh, thus.

And last thing, I listened recently in the conference from Lacan to Caracas,
his last conference before his death where he speaks about the body, but
before, about something formidable on symbolism - What makes a break to us
exactly - in what lies the status of the otherness exclusively, (imagine
what canmean for us all our broken a symbolistic politically, sociallly and
cultural pacts as the otherness would leaves us, this way, or becomes a
radical otherness: but it is maybe you (us) who consititute it? Has there
that to see the Americans and the Islamic people and if I was Arabic of
Magnan and Fabre, me who does not know how to cut really testicles to the
guys?

 Thank you Bobig, your trick on love that is very attractive, it has really
there which miss to be also narrow-minded as that I have to defend me on.