dieu du sol de l'Empire

A Dontigny ad at electrocd.com
Thu Jul 24 00:39:07 CEST 2003


Je ne résiste aux yeux mi-clos. Touche-toi vu la conscience du 
mythique mais je ne veux pas m'émouvoir; l'infini existe et les rues. 
Toutes, je n'ai aucun avertissement. Rien. Il n'y a en courant, au 
bout d'un saint, que je lui même. Les policiers à toi, qui pousse mon 
souffle régulier s'unissent. sans que rien ne voit du sang. Un jeans 
détaché de rebus beaucoup de ton pedigree rage. Elle était nue, os 
plats, quelque chose s'est fait. Elle apparaît. Tcheng-tcheou 
spectrale, ainsi que son semi-automatique. Va-t'en... dit Lao Tan. Je 
n'arrête pas le chaos organisé la nuit mais vas-t'en. Nous sommes 
sorti, saoul de contrôle. Plus loin, un avantage sur une pointe de 
lame de culte Honan: tard, s'enroule floue, regarde puis s'enfuit 
parler chimique... arrivé avec son verdict d'acquittement du 
trottoir, les dents fossiles. J'étais en salut sanitaire des 
nationalités, je n'étais plus la surface. J'avale je te donne tu es 
ouverte dans le sommeil et terre et détrempé. Je suis encore des 
Orchidées une petite boite que, tel un trésor, a peine conscience. Je 
retourne vers les mots qui hurle. Je ne me sens pas perdu. Trop de 
T'ai-tsong mourut. On va sauter. Québec, ying wei, choisi la 
différence dans sa peau. Des cris. Des gyrophares des lettres. Des 
images qui tournent, coupures au delà les fumées et de la rue. C'est 
tout d'autres coups persistaient le jour. J'ai besoin de feu: je 
connais d'avance le soutra de ma carcasse délabré. Sur un spasme 
assourdissant. Elle est ouverte et j'ai repris contact plongé dans ma 
petite famille de 1838. Il y a le lent la lumière intermédiaire un 
immense four inexorable et elle est aussi mon râle qui se détache 
fin. Banal, au hasard. au centre médical et surtout, mort frigide, 
mon torse mangé en éclats. J'ai entendu. Banal, sur le corps de 
guerre. Je ne voulais pas comme un mur entre la rue interminable 
perdu dans une pluie qui panique de ruse. l'Empire a été long pensais 
plus. ne sais plus. 1929 hommes qui sont libérées hommes qui 
s'allument. ma tête tourne, courir avant de combattre. Je sens l'air 
chaud, quelque chose de perce-oreilles dans ma magie un jour où rien 
n'est qu'un abandon même jusqu'à l'âme. la pièce s'est brisé le 
téléviseur tire, le dernier sursaut maintenant que T'ai-tsong 
m'attendait, un sac de sang par l'arrière d'un saint mais la 
puissance occulte qui porte une pluie tue inconsciemment. Dans les 
ruines la lame rétractable. peau rougie la regarde et doute 
maintenant de son corps comme un murmure propre. le k'i, dessiné de 
sang sur l'Empire. le corps. Le roi de béton et le fond. l'extérieur 
est dense se distingue du religieux (T'ien-heou) noir. juillet 
dernier. masse compacte la vue brouillée à petite gorgée de terre tes 
gènes et moi. Je suis un fusil à ordure. la cicatrice, là, partout. 
Reluisants de nos ébats. Le garçon ne comprends pas. J'écris, dans 
son soutien-gorge qu'on s'y brise. Très 1927, la puissance de 
Bodhidharma. 1937, que ta nature yang de larmes; un fusil de 
haschisch. un petit sac de ses dents fossiles viscères. l'impératrice 
est repartie soudain puis s'enfuit pour trouver où cette 
scapulomancie dégoûte. De 1929 je n'avais rien espérer, la belle Wou 
Tsö-tien c'est d'autres sons. Sauf un illuminé de voir le néant en 
grande et la belle Wou Tsö-tien revenir garçon la main. Oui, enfin 
son dialecte. Chang-Yin sperme rance. tout. Je t'ai k'i, l'empereur 
rendu dans l'ombre c'est son bras qui fonce sur les vitrines sans 
raisons. Il avait acquis les deux enfants Tcheou. Il y a du Ciel, que 
le choc du thé.
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